Naruto et Naruto Shippuuden • CaptaiNaruto

Naruto • Fanfic "Les cinq grandes nations en danger" par Cavas - Chapitre 35 :: CaptaiNaruto

Sommaire

Saison 1 :

Saison 2 :


Chapitre 35 : Une Rencontre Inattendue.

Le soleil était sur le point de se coucher à Konoha. Les habitants commençaient à prendre leurs dispositions pour finir ce qu’ils avaient à faire dehors avant la tombée de la nuit. Parmi eux se trouvait Minato qui était en train de faire son footing habituel. Il avait fini l’entraînement avec Kyûbi, mais avait décidé d’aller courir en attendant que son père sorte du bureau pour leur entraînement au Fuinjutsu. Le jeune ninja avait déjà fait tellement de tours du village qu’il en avait perdu le compte. Soudain, il entendit des voix derrière lui.

-Mettons-y plus de passion, Lee, Jin. Laissons la force de la jeunesse s’exprimer et redoublons la cadence. N’oubliez pas qu’on a encore cent tours du village à faire avant la tombée de la nuit pour atteindre les mille prévus.
-Oui Gai-sensei ! Et si on n’arrive pas à faire les cent tours restants avant cette nuit, alors il faudra qu’on fasse deux mille pompes sur chaque bras, proposa Lee.
-Deux mille pompes ?! Pourquoi pas trois mille tant que vous y êtes ? C’est de la folie !
-Je te reconnais bien là Jin, tu es bien le digne élève de mon élève. Pour récompenser ta passion, nous en ferons quatre mille sur chaque bras.
-C’était une blague Gai-sensei, une blague !
-Eh regardez, il y a un autre jeune homme passionné devant nous. Allons à sa rencontre.

Le groupe rattrapa Minato et se mit à courir à ses côtés.
-Mais tu es Minato, remarqua Lee.
-Et vous devez être Lee-sensei.
-C’est exact, je suis le sensei de Jin. Vous étiez dans la même classe à l’académie il me semble.
Minoto hocha la tête. Mais bien qu’ils fussent camarades de classe, ils se connaissaient à peine.
-Et moi je suis Gai, la panthère de Jade de Konoha. C’est moi qui aie tout appris à Lee. Mais dis-moi pourquoi cours-tu ?
-Je m’entraîne pour l’examen des chûnins, répondit Minato qui avait remarqué que Jin ne portait pas la même tenue que ses senseis.
-Oh je vois. Jin s’entraîne aussi pour l’examen. On a décidé de faire un petit jogging après l’entraînement collectif de l’équipe de Lee, rien de bien méchant, juste mille tours du village.

Mille tours ? Et c’est censé être un petit tour du village ? pensa Minato. Kurama-san me demande d’en faire cinq cent chaque jour et je trouve que c’est déjà beaucoup.

-Pourquoi le reste de ton équipe n’est pas avec vous ? Demanda Minato à Jin.
-Ils ont préféré s’entraîner de leur côté après qu’on ait fini l’entraînement collectif.
-Dis-moi Minato, combien as-tu sur toi ? Demanda Gaï.
-Euh… de quoi parlez-vous?
-Tu n’as pas de poids sur toi pendant que tu cours ?
Minato répondit par la négative. Alors, Gaï sortit de nulle part des jambières.
-Ces petits bijoux apporteront une autre dimension à ton entraînement. Nous en portons tous. Quel couleur veux-tu ? Orange comme Lee et moi ? Ou vert comme celui de Jin ?

Minato choisit le vert et le groupe s’arrêta quelques secondes le temps que celui-ci enfile son nouvel équipement. Aussitôt les jambières enfilées, il comprit alors ce que Gaï voulait dire par apporter une autre dimension à l’entraînement. Ses jambes avaient l’air de peser une tonne, rendant chaque pas extrêmement difficile.
-Ils pèsent combien ces trucs ? Demanda-t-il après qu’ils aient repris la route.
-Vingt kilos chaque, répondit Lee, Jin a les mêmes. Mais le nôtre pèse cinquante kilos.
-Tu es sûr que tes senseis sont humains ? Ils courent l’air de rien avec cent kilos sur eux, murmura Minato à Jin.
-Je me le demande moi-même quelques fois si tu veux tout savoir.
-Vous êtes à la traîne Minato, Jin, les avertit Gaï.
Les deux garçons augmentèrent alors la cadence afin de rattraper les deux senseis qui faisaient la course en tête. Mais contrairement à Jin, Minato eut du mal à revenir au niveau des jônins et à suivre leur cadence. En temps normal il n’aurait eu aucun mal à suivre un tel rythme mais son nouvel équipement le ralentissait énormément et il devait fournir deux fois plus d’effort que d’habitude afin de ne pas se laisser distancer.
Au bout de deux heures, le groupe s’arrêta enfin.
-Je suis surpris que tu aies pu suivre la cadence Minato, dit Lee. Tu dois beaucoup courir.
-Je ne fais pratiquement que ça dernièrement.
-Tout s’explique alors. Que diriez-vous d’un petit match d’entraînement entre genins ? Demanda Gaï.
-Si Minato n’est pas trop fatigué, je n’ai rien contre, répondit Jin.
-Je vais bien, ajouta l’intéressé.
-Parfait alors ! C’est quand vous voulez les jeunes. Laissez-moi admirer la force de votre jeunesse !

Les deux genins se positionnèrent face à face, se saluèrent comme il le leur a été appris à l’académie puis engagèrent le combat. Jin fut le premier à frapper, il donna un coup de pied qui atterri directement dans les côtes de Minato qui grimaça de douleur. L’élève de Lee enchaîna directement avec un autre coup de pied en visant la tête cette fois-ci. Minato fit un pas en arrière pour esquiver le coup, mais il ne fut pas assez rapide car le bout de la chaussure de son adversaire l’atteignit au nez, laissant échapper un filet de sang.
Ses poids me ralentissent plus que je ne le crois. J’ai du mal à croire qu’il porte les mêmes vu la facilité avec laquelle il se déplace. En même temps, il les porte depuis plus longtemps que moi.
Jin lança de nouveau l’offensive, cette fois-ci d’un direct du droit. Minato esquiva le coup et envoya un coup de poing qui atteignit Jin au menton. L’élève de Ryuzen profita alors de cette ouverture pour placer d’autres coups, mais ceux-ci firent parer par son adversaire.
Minato est de plus en plus à l’aise avec les poids, et il bouge beaucoup mieux qu’avant. Ce match risque d’être intéressant, pensa Gaï.
Minato en profita pour enchainer avec un coup de pied retourné mais son pied ne rencontra que le vide. Jin s’était baissé. Il prit appui sur le sol, et envoya un coup de pied que Minato para en croisant ses bras, mais la puissance du choc le propulsa en l’air. Soudain, Jin disparut et réapparu derrière Minato qui se trouvait en l’air. Mais ce dernier, qui avait réussi à lire les mouvements de son adversaire, envoya son pied en arrière ou moment où Jin réapparaissait derrière lui. Jin leva son bras droit, coude pointé vers la cheville de Minato pour le contrer. Minato vit le coude de son adversaire se rapprocher de sa jambe, mais il ne pouvait plus arrêter son geste. Le choc était inévitable, le genin de l’équipe sept serra les dents, se préparant à encaisser les dégâts. Soudain, Lee et Gaï se jetèrent sur chacun des genins comme un seul homme. Lee attrapa son élève, tandis que Gaï neutralisa le coup de pied Minato avant de l’emmener au sol.

Je n’arrive pas à croire qu’il ait anticipé la combinaison super rapide de Jin. Il doit être habitué à se battre contre un adversaire rapide, conclu Lee pour lui-même.

-Je crois que ça suffit, déclara Gaï, vos derniers coups étaient assez dangereux. Cela aurait pu mal finir.
-Je t’ai dit de faire attention avec ce genre de blocage Jin, le réprimanda son sensei.
-Je suis désolé, je me suis laissé emporter, s’excusa Jin en baissant la tête.
-C’était un bon combat, dit Minato, merci Jin. Je crois que je vais rentrer, ajouta-t-il.

Ce serait intéressant de les voir s’affronter dans un vrai combat, se dit Gaï, j’espère qu’ils se retrouveront face à face lors de l’examen des Chûnins.

-Viens t’entraîner avec nous à l’occasion, proposa l’ancien sensei de Lee.
Minato remercia les deux senseis et prit congé.
-Que penses-tu de Minato ? Demanda Lee à son élève.
-Je ne sais pas trop, on n’était pas à fond et puis il n’a pas utilisé le ninjutsu. Mais il est rapide, ça s’est sûr. J’aimerai l’affronter à nouveau… sérieusement.
-Tu auras peut être cette chance lors de l’examen des Chûnins, dit Gaï, je tremble d’excitation rien qu’à l’idée d’y penser.
Minato arriva chez lui quelques minutes après avoir quitté Jin et les autres. Kyûbi arriva à sa rencontre, le jeune garçon conclu donc que son père n’était toujours pas rentré.

Celui-ci salua son mentor qui ne manqua de remarquer les traces que sa petite rencontre avec Jin avait laissé sur son visage ainsi que les jambières qu’il portait. Minato lui raconta alors sa rencontre avec la bande de Gaï ainsi que son duel avec Jin.


-Faire un combat alors que ton entraînement n’est pas terminé… Gagne au moins si tu veux faire un truc aussi stupide. Que va-t-il en devenir de ma réputation si celui-ci que j’entraîne se fait battre par le premier venu ?

Je ne me suis pas fait battre , pensa Minato.


-Peut-être que ton entraînement n’est pas si sévère après tout, reprit Kurama. Dès demain tu me doubles les tours du village avec les poids que Gaï t’a offerts jusqu’à nouvel ordre.
Minato acquiesça, conscient que toute discussion était inutile, et entra à l’intérieur de la maison pour prendre une douche en attendant l’arrivée de son père.

Au même moment, une réunion se tenait entre les membres de Shinsekai. C’était l’un de leurs rassemblements spéciaux où les membres n’étaient pas présents physiquement, seul une représentation de leur enveloppe corporelle se dessinait dans la grotte.
-Je vois que Taïkan est toujours parmi nous, commença Kenji, la mission à Tasa a été donc un succès.
-On dirait bien, soupira une voix masculine.
Taïkan aurait répliqué en temps habituel, mais il était trop heureux du déroulement de leur opération au village de Tasa, après tout sa vie était en jeu. Il décida donc d’ignorer les piques que lui lançaient certains des membres.
-Que nous avez-vous ramené ? Demanda Kazuo avec une pointe de curiosité dans sa voix.
-La pierre de Gelel, déclara fièrement Taïkan. C’est dommage que vous ne puissiez pas la voir, ce petit bijou est vraiment quelque chose.
-Avez-vous rencontré des difficultés lors de son acquisition ? Demanda le chef de l’organisation.
-Aucune, répondit Kaoru qui était aussi allé à Tasa, les informations de Taïkan s’étaient avérés exactes ; l’homme en question, Kosui, connaissait l’emplacement de la pierre.
-Et il a été biensur éliminé une fois l’objet en notre possession, ajouta Shigure.
-N’oubliez pas de préciser qui a fait le boulot, fit remarquer fièrementTaïkan qui voulait bien se faire voir des autres membres et surtout du chef.
-Tuez quelqu’un comme Kosui n’a rien d’impressionnant, il n’y a pas de quoi se vanter, dit Suigetsu.
-Au moins moi j’ai trouvé l’un des objets, répliqua Taïkan, à part assister aux réunions et te tourner les pouces, tu ne fais pas grand-chose pour l’organisation.
-J’ai recruté plus de membres que n’importe lequel d’entre vous, se défendit ce dernier.
-Ah oui j’oubliais, toi et ta petite bande de mousquetaires. Au final, ils sont aussi utiles que toi.

Les concernés ne mirent pas longtemps à réagir, ils n’appréciaient pas vraiment les paroles de Taïkan.
-Tu parles beaucoup pour quelqu’un qui n’est pas capable de gérer une mission par toi-même, dit une voix dans la pièce. Ce n’est pas la première fois que d’autres membres sont obligés d’aller sur le terrain pour réparer tes erreurs.
Taïkan s’apprêta encore à répliquer quand quelqu’un le devança.
-Avez-vous eu le temps de sortir du pays du feu ? Demanda le chef à l’adresse des trois responsables de la mission de Tasa.
Le silence se fit immédiatement dans l’assemblée. L’heure n’était plus aux règlements de compte, et chacun en était conscient.
-Cela fait un bon moment déjà qu’on a quitté le pays du feu, répondit Kaoru.
-Nous n’avons aucun ninja à nos trousses si c’est ce que vous vouliez savoir, et on s’est occupé de tous ceux qui nous ont vus près de Tasa, ajouta Shigure.
-Des mouvements du côté de l’Alliance concernant le vol de la pierre ? Demanda le chef à Kazuo.
-Konoha est biensûr au courant de ce qui s’est passé et ils se doutent qu’on est derrière tout ça. Mais d’après mes sources, ni Konoha ni les autres villages n’ont aucune idée de nos plans. Cependant, plusieurs jônins des cinq villages ont été mobilisés par l’Alliance pour se lancer exclusivement sur nos traces.
-On dirait que l’Alliance se pose des questions, dit Mina.
-C’est tout à fait normal, ils se demandent surement ce qu’on projette de faire avec la pierre, expliqua Jun.
-On n’a qu’à attirer leur attention sur autre chose comme ce qu’on a fait jusqu’à présent, proposa quelqu’un.
-On pourrait tuer un membre de la famille d’un des seigneurs ou décimer un des petits villages sous la protection d’un village de l’Alliance, proposa Kenji.
-Le seigneur de chaque pays ainsi sa famille sont plus que jamais protégés depuis que Jun a essayé de s’en prendre à la vie du seigneur du pays de la foudre. De plus, des ANBU de chaque village patrouillent fréquemment afin d’assurer la sécurité des autres territoires sous leur tutelle, décimer tout un village ne sera donc pas facile, expliqua Kazuo.
-On n’a qu’à d’abord s’occuper des ANBU, dit quelqu’un.
-Ils auront largement le temps d’alerter leur village pour des renforts avant que cela arrive, répondit Shigure.
-L’examen des Chûnins est pour bientôt, non ? Interrogea le chef.
-Vous avez raison, c’est dans un peu moins de deux mois maintenant, répondit Kazuo.
-Tous les Kages et les seigneurs seront rassemblés au même endroit, on pourrait en profiter pour attaquer les villages en absence de leurs Kages, dit Suigetsu.
-Et tu crois qu’ils ne sont pas préparés à cette éventualité ? Ils ne sont pas aussi stupides que toi pour laisser leur village sans protection en leur absence, dit Jun.
-Sale gamin, murmura Suigetsu qui ne put réprimer son mécontentement.
Mais ces paroles n’étaient assez basses pour échapper à l’ouïe de Jun.
-Au cas où tu l’ignorais je connais tous les endroits où tu as tes habitudes, et mon raiton peut facilement te changer à l’état de poisson grillé. Alors un conseil, surveille ton langage à l’avenir quand tu t’adresses à moi.
Suigetsu fut obligé de ravaler sa fierté, conscient que le garçon n’était pas du genre à plaisanter.
-Je suis désolé, s’excusa Suigetsu qui n’en pensait pas le moindre mot. Mais il se promit intérieurement de ne plus jamais remettre les pieds dans les endroits qu’il avait l’habitude de fréquenter tant que Jun sera vivant.
-Je rappelle qu’il est formellement interdit de tuer un autre membre de l’organisation, déclara Karin.

Tout le monde était évidemment au courant de cette règle qui avait été créé dans le but d’éviter que les membres ne s’entretuent entre eux afin de collecter la prime sur la tête de leurs camarades.
-Mêles-toi de tes affaires la rouquine ! De toute façon je ne comptais pas l’éliminer, je connais les conséquences. Mais je peux toujours le battre et le laisser au seuil de la mort, reprit Jun, il n’y a aucune règle contre cela n’est-ce pas ?
Karin ne sut quoi répondre, ce n’était pas évident d’avoir le dernier mot dans un argument avec Jun. Contrairement à ce qu’on aurait pu croire, cet échange ne perturbait nullement les autres membres car ce genre de scène arrivait fréquemment lors des réunions. Après tout, les membres de l’organisation ne se portent pas tous dans leurs cœurs, seuls quelques personnes arrivent à bien s’entendre entre eux.

-Bon, on va nous aussi se rendre à l’examen des Chûnins, déclara le chef.
-On va s’y rendre personnellement ? Demanda quelqu’un visiblement inquiet.
-Les cinq Kages seront présents ainsi que la plupart des ninjas d’élites, dit Kazuo, sans oublier que l’alliance aura l’avantage du nombre. On risque d’essuyer de lourdes pertes.
-Vous croyez vraiment qu’on se jettera dans la gueule du loup aussi ouvertement ? Interrogea le chef. Je pensais que vous connaissez mieux que ça après tout ce temps.
-Vous pensez à quelque chose de plus subtile, un plan qui nous permet de frapper sans nous dévoiler ouvertement.
-Tu saisis vite Shigure.
-Et si Jun se déguisait afin de participer lui aussi à l’examen, proposa Mina sur le ton de l’humour, après tout il a l’âge pour.
-C’est une bonne idée, reprit un homme qui se prénommait Sendo, Jun pourrait éliminer tous les participants. Je pourrais même l’accompagner en tant que son sensei.
-Très drôle vous deux ! Vous devriez savoir une chose au cas où vous voulez m’inclure dans le plan, commença Jun, mon père sera aussi présent et il y a cette femme, de type sensoriel, qui l’accompagne toujours avec Darui ; elle est capable de me repérer à des kilomètres à la ronde. Ce serait mauvais d’annoncer notre présence avant même d’être sur place.
-Il n’y a aucune inquiétude à avoir de ce côté-là, dit le chef, comme Shigure l’a deviné, on ne participera pas directement. J’aurai besoin de certains d’entre vous pour préparer les détails de l’opération, ajouta-t-il.
-Et en ce qui concerne la pierre ? Demanda Shigure.
-Tu vas me la ramener personnellement, je t’attendrai à l’endroit habituel.
-Très bien !
Soudain, Taïkan toussota pour attirer l’attention.
-Qu’est-ce qu’il y a ? Interrogea le chef.
-Sauf votre respect, je demande à être la personne qui transportera la pierre. En tant que celui qui l’a localisé, je pense que ce privilège me revient.
Le chef resta silencieux quelques secondes qui parut interminable à Taïkan. Ce dernier se demanda s’il n’était peut-être pas allé trop loin avec sa requête.
- Retrouve-moi à l’endroit où l’on s’est rencontré pour la première fois.
-J’y serai, répondit Taïkan satisfait d’avoir eu gain de cause.
Sur ce, le chef mit fin à la séance et la grotte retomba dans le silence.

 

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